Zoom sur xgirl vs supermacho

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l n’est pas évident d’évaluer la notion de notoriété : que sont les principes du succès ? à partir de quel stade de médiatisation peut-on être perçu « » ? D’autant plus que la gloire en tant qu’objet d’étude recouvre plusieurs dimensions. Il devient de ce fait difficile de savoir que critères sont déterminants dans l’apparition d’un maladie chez une personne célèbre : est-ce le trop plein d’attention sociale ? l’ampleur des délicats négatives ? l’obligation de « se tenir à l’écart » constamment pour l’esquiver aux fans ? l’alternance de succès tonnant et de situations beaucoup plus calmes ?

Qu’on la critique ou pas, la popularité est un phénomène en lien avec la visibilité. Touchant toutes les classes sociales, elle de savourer et de s’assimiler que ce soit à un sportif, un membre d’une famille souveraine, ou un écrivain par exemple. Ces dernières années, grâce aux réseaux sociaux, chacun peut choisir son bronze dans la dépendance de ses fantasmes. En prouvant son quotidien, la popularité contribue à la attirance et à l’identification de ses fans.

Entendue en ce sens, la popularité est un élément récent de l’histoire, directement lié à l’explosion des médias et des solutions de distribution de l’image : restaurant, pics, téléviseur, magazines, brochures, Internet… Sans ces moyens-là, la célébrité se confondrait encore avec la « renommée » démoniaque d’une Sarah Bernhardt, ou la « notoriété » d’un destructeur comme Landru. Les célébrités sont aujourd’hui partout ou presque : musique, cinéma, show bien sûr, et également sport, croissances, art, charte, et littérature… La hollywoodienne, l’idole rock and roll, la top modèle, le goals soleil, le télé­animateur sérieuses, outre quelques avantages qui sont ceux de la réussite sociale en général, communiquent dans un premier temps un même risque : celui d’être abordé dans la rue par un nombre embarrassant d’appropriés inédites. Vous ne les connaissez pas, mais eux vous connaissent, ou croient vous connaître, car – comme ma vendeuse – ils ont parfois oublié l’appellation qui va avec l’épiderme.

N’oublions pas que la célébrité, à l’inverse à la gloire, vit le jour de la rencontre de la démocratisation et de la société d’usage. La renomée n’est alors plus un privilège des rois, des aventuriers ou des garant militaire, à présent chacun peut prétendre à son quart date de réputation comme le prophétisait Andy Warhol les années 70. Les nouveaux médias comme web et les jeux console télévisés dits de ‘ télé-réalité ‘ ont rendu cette idée fortement immense. Le philosophe Roger Caillois déclarait déjà dans les années 50 quelle valeur le opportunité est présent lors de la naissance des personnes célèbres et quel prix cette ‘ hasard phénoménale ‘ était positif au même de la célébrité[1]. En effet tous en regardant sa favori peut rêver et se qualifier : ‘ Un jour ce sera moi sur cet écran. ‘ Dans une société qui marche au réclame, voilà un phénomène qui peut toucher semble-t-il le premier venu ; une impressionnant qui peut revenir au plus enfoncer ou au plus pauvre. En cela, la gloire bafoue la hiérarchie établie, invalide la hasard que sa condition fait peser sur tout le monde. La démocratisation et la notion de concrétisation de soi sont appartement de l’histoire.

L’arnaque. Le malheur des vedettes. De Johnny Hallyday à la fille du King, Liza Marie Presley, en passant par Benjamin Castaldi et Isabelle Adjani, vastes sont les individus qui ont eu affaire à des escrocs du genre bertrand Madoff ou Christophe Rocancourt. On pense aussi à l’ancien double gymnaste du monde de boxe Christophe Tiozzo ou à la skieuse française la plus titrée de la story en Coupe du monde, Carole Merle, qui ont laissé leur fortune entre les mains d’arnaqueurs. Par l’intermédiaire de placements intrépide de la part de «gens de confiance», l’un comme l’autre se sont retrouvés, du jour au lendemain, avec 2 000 000 000 d’euros de crédits ( découvrir ci-contre ).

En allant plus loin, les célébrités pourraient également saillir aux dieux et aux brave de conte dans notre inconscient. En décryptant L’Odyssée il y a imminent, j’ai été frappé de voir à quel point les dieux du post d’Homère ressemblaient aux vedettes qui peuplent les pages des tabloïds. Narcissiques et outrecuidant, ils participent à des beuveries endiablées, trompent leurs conjoints, manquent à leur parole et exigent une union de tous les instants. Il existe par contre une différence de dimension : si les Grecs craignaient et vénéraient leurs divinités, les people d’aujourd’hui nous inspirent une éblouissement choc de morgue. Les stars sont arrivées dans un premier temps du XXe siècle; on peut donc évaluer qu’elles sont née passer un vide laissé par une différente figure, à la même date.

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