Ma source à propos de haie artificielle
Les beaux jours vont s’installer un peu partout sur le territoire et pour ceux qui ont la possibilité d’avoir un jardin, c’est le moment ou jamais d’enfiler ses boots, son chapeau de paille et ses gants et de se renouveler une santé en jardinant. On jardine pour entretenir ses plantations ou pour prendre l’air, mais sait-on que le jardinage est aussi super pour la santé ? Cette activité, somme toute banale, permet en effet de se relaxer et de prendre soin de son corps. Nous avons choisit pour vous 5 bienfaits du jardinage pour la santé. On n’y pense pas assez, mais le jardinage c’est une activité. Il demande des exercices et peut donc vous permettre de gacher des calories. Certaines études ont même montré que 3 heures et demie de jardinage nous permettaient de dépenser 1 000 Kcal, soit l’équivalent de ce que l’on perd en courant 2 heures. C’est plutôt motivant. Bêcher et extraire les mauvaises herbes peut s’avérer en effet vraiment fatiguant. Attention cependant à ne pas jardiner dans de mauvaises positions, vous pourriez vous faire mal au dos. Pensez, dans la mesure du possible, à garder le dos bien droit. Il vaut mieux extraire les mauvaises herbes à quatre pattes qu’en se cassant le dos en deux. Comme toutes les activités, le jardinage demande de prendre certaines dispositions.
Le jardinage est une activité doux qui permet de lutter contre les mauvaises routines alimentaires. A la suite de nombreuses études, les médecins préconisent clairement la pratique du jardin pour rompre cette spirale de mauvaises routines ( celles-ci, notamment alimentaires concernent le grignotage, l’alimentation mal équilibrée et le temps passé devant la télévision : les hommes et femmes passant 40% de leur temps libre en face de la tv ). Le jardinage est analogue à la pratique d’un sport doux : trois heures et demie conviennent à une perte de 1000 Kcal, ce qui est équivalent à pratiquement deux heures de jogging. En fait, les médecins recommandent pour garder la forme une dépense quotidienne de 156 Kcal ce qui se traduit par quarante cinq min de taille de rosiers ou 25 min de bêchage. Cette activité a aussi l’avantage de solliciter tous les zones musculaires de manière répétitive et sans à-coups… La répétition de mouvements très différents, se baisser, se pencher ou fléchir les genoux, perfectionne la souplesse. ainsi, certaines opérations techniques telles que le bouturage et le greffage demandent une bonne qualité manuelle. Le jardinage a de même des effets bénéfiques sur l’ostéoporose par cette action tonifiante. Les personnes âgées doivent être encouragées à jardiner pour lutter contre les problèmes liés à la dégradation de la mobilité. Plus fort, des études hollandaises et américaines ont montré le rôle de prévention du jardinage sur le cancer.
L’horticulture est bénéfique pour la forme. Le constat est intuitif et la preuve scientifique est faite. Nous en avons tous fait l’expérience, que ce soit plus ou moins consciemment. L’effet intéressant le plus évident est l’impact positif sur notre physique. Le jardinage est une activité d’intensité faible à moyenne qui nous garde actifs, sans toutefois nous essouffler. Sa nature d’intensité faible nous permet de la pratiquer pendant de nombreuses minutes. Passer 2 heures à jardiner se rapporte à proposer notre corps à une panoplie de mouvements et contorsions, et ce, sans arrêt. C’en est presque une séance de yoga ! Un autre effet éprouvé est le sentiment d’apaisement pendant et après votre activité horticole. Pour qui livrent une bataille quotidienne au stress, il a été démontré que le jardinage aide à d’estomper les hormones liées au stress et à entretenir le sentiment de bonne humeur plus avec rapidité et plus longtemps que la lecture de loisir. La planification du jardin fait appel à plusieurs process cognitifs en plus de stimuler notre créativité. La recherche de la bonne plante pour notre contexte ( sol, eau, ensoleillement, compagnonnage ) s’étale sur notre esprit, tout comme ces mille et une petites attentions que nous avons quand nous entretenons nos plantes. D’associer autant de stimulations psychologiques à des déplacements physiques doux devient très relaxant pour les esprits surchargés. Si vous rêvez d’un jardin unique et différent et que votre créativité s’avère en hibernation, une petite sortie à la pépinière ou dans nos serres suffira pour vous inspirer.
si vous êtes adepte du jardinage, vous l’aurez sans doute remarqué, dans un jardin, on se sent vite bien, apaisé. Et avec une bêche à la main, on oublie les soucis du quotidien pour se focaliser sur son métier. Une étude britanique réalisée auprès d’une population en excellente forme, jardinant dans les jardins partagés pour le bonheur a d’ailleurs montré qu’une simple séance de jardin permet d’augmenter la confiance en soi, l’humeur, le stress et l’anxiété. Il conclut même que les organismes de santé publique devraient encourager les britanniques à jardiner. Il suggère de fournir à chaque habitant une zone sur laquelle il pourrait avoir une mode régulière de jardin en prévention de maladie. lorsque l’on jardine dans un jardin partagé, on appartient à un groupe. On discute avec ses co-jardiniers ou avec les le public qui passent rue et posent des questions. On s’entraide, on échange des conseils. « Rendre son environnement plus beau donne le sentiment d’avoir une utilité sociale. On s’engage dans un projet qui rend son quartier plus agréable à vivre, plus désirable, qui apporte à tout le monde. Psychologiquement, cela redonne de la confiance en soi«, montre Isabelle Boucq présidente de la Fédération française espaces vert nature et santé et auteure d’un site institutionnel le bonheur est dans le jardin.
Si tout cela vous apparaît un peu trop long ou difficile à mettre en place, il est envisageable de réaliser un potager surélevé ( en carré ou sur buttes ). En procurant alors un mélange de terre adaptée, vous vous affranchissez des contraintes de la nature de votre sol. Pour les régions ventées, un mur de la maison ou une haie sont idéals pour préserver vos légumes ; à défaut, prévoyez d’installer en bordure du potager des groseilliers, des framboisiers, ou bien encore du romarin ou autre laurier-sauce qui feront un rempart gourmand fort appréciable. Il est toutefois sage de ne pas oublier que, quelles que soient les infos que l’on met en place pour remédier aux « imperfections » de la nature, il est encore préférable d’essayer de s’adapter à son milieu ; un sol argileux conviendra plutôt aux betteraves, aux épinards, aux fèves ou aux poirées tandis qu’une terre à tendance sablonneuse verra s’épanouir asperges, pastèques, pommes de terre et autres scorsonères. Et si le persil n’aime pas les sols trop acides, l’oseille se détourne de ceux qui sont trop calcaires. enfin, si le soleil n’illumine qu’avec parcimonie votre potager, choisissez les laitues, les épinards, les cèleris, ou tout autre légume se agréable à l’ombre ou à la mi-ombre. Faire son potager c’est accepter d’y consacrer un peu ( voire plus ! ) de son temps. Pour ne pas le perdre et se retrouver submergé par une activitée qui vous dépasse, il est préférable de bien dimensionner son projet avant de le amorcer.
Avant toute chose, il est important de savoir quand débuter votre potager. Été ? Hiver ? Quel est le bon moment ? Selon moi, la meilleure période pour revêtir sa habillement de jardinier est… ( roulement de tambours ) l’automne ! L’automne est l’une de mes périodes favorites. Les températures se radoucissent, les arbres bouleversent de couleur, le temps apparait se freiner. Les feuilles sont. Les grattoirs se préparent. Et la terre de votre potager n’attend plus que vous pour une nouvelle aventure ! Vous ne le saviez peut-être pas, mais c’est pendant la période automnale qu’il faut préparer le sol. Lorsque j’écris « préparer », je veux dire : amender, enrichir, organiser. Certaines personnes vous épaulent de démarrer votre potager au printemps. À première vue, rien de plus logique : c’est à cette période que l’on plante et sème ses premiers légumes. Mais comme un gâteau ne peut se cuisiner sans ingrédients, des légumes ne peuvent pousser sans une bonne terre. Et la le modèle miraculeux d’une « bonne terre » n’a rien de complexe. Amendement, fertilisation, délimitation, organisation… À démarrer dès les mois d’octobre/novembre ! Nous voici dès à présent arrivés à la seconde phase de la création de votre potager : l’emplacement. C’est au cœur de chez vous que se cache l’endroit idéal. Un coin tranquille où installer votre petit cocon extérieur. Tranquille ? Oui… mais pas que ! Pour voir grandir vos légumes à vue d’œil, vous aurez besoin d’une bonne exposition. Chaleur et lumière sont les meilleurs alliés de vos fleurs chéries. Ainsi, l’emplacement de votre futur potager doit rester le plus ensoleillé possible. le plus simple ? Plein Sud !
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